Les mercenaires de la coalition saoudo-émirati-US ont de nouveau violé le cessez-le-feu à Hodeïda (ouest) en tirant, le mercredi 30 janvier, 15 roquettes Katioucha contre la région de Kilo 16.
15 autres raids ont été menés, mercredi, par la coalition contre cette région portuaire, a affirmé le porte-parole des forces yéménites (armée + Ansarullah), le général Yehya Sari’. Et d’ajouter : « Les violations continues de cette trêve, entrée en vigueur en décembre 2018, constitue une transgression flagrante des résolutions onusiennes et risque de faire voler en éclats l’accord conclu en Suède et les efforts déployés pour instaurer la paix au Yémen ».
Pour sa part, un dirigeant d’Ansarullah, Salim Mofless, a estimé que le mutisme des Nations Unies envers les violations de la coalition à Hodeïda est comparable à un feu vert pour la poursuite de cette guerre.
Le Royaume uni complice
Entre-temps, le secrétaire général d’Ansarullah, Fadel Abou Taleb, a affirmé que la Grande Bretagne est un pays hostile au peuple yéménite et une partie clé dans l’agression contre le peuple yéménite dès le premier jour.
Et d’ajouter : « La Grande Bretagne participe est impliquée de manière technique et logistique dans cette agression et vend toutes sortes d’armes meurtrières aux pays d’agression (coaltion saoudo-émiratie) ».
« Londres assure, en outre, une couverture politique internationale aux agressions de la coaltion commis au Yémen », a-t-il précisé.
Source: Traduit d'AlMasirah