Le passé, le présent, le futur.
La lutte entreprise pour la libération de la Palestine des mains des Sionistes soutenus par les grandes puissances hégémoniques avec, à leur tête, le Grand Satan, les États-Unis, a connu des hauts et des bas. Cette lutte a pris des tournants décisifs évidents dans l’intérêt de cette libération tant attendue. Naturellement, plusieurs questions se posent autour de ce sujet. Quelle est l’origine du conflit (au cas où quelqu’un ne le saurait pas) ? Quelles formes prend cette confrontation ? Quelles en sont les forces antagonistes ? Quelles sont les perspectives à attendre dans l’avenir ?
Pour répondre à ces questions, il est très important de jeter un coup d’œil bref et rapide sur l’histoire qu’a connue notre région qu’il faut nommer comme avant et comme toujours, l’Orient Arabe, (et non le Moyen Orient comme divulguent les occidentaux) bien avant la création du soi-disant État d’Israël en 1948 après la Seconde Guerre mondiale ni en 1917, la date de la maudite promesse de Balfour mais bien avant, vers 1897 lors du congrès de Bâle.
[Le Premier congrès sioniste se réunit à Bâle en Suisse, du 29 au 31 août 1897, et marque le tournant décisif dans l’histoire du mouvement des Amants de Sion, qui devient officiellement mouvement « sioniste-politique ». Herzl y propose son programme, qu’il qualifie de « plan de réunification nationale juive ». Un grand conseil, composé de 15 membres, y est élu, ainsi qu’un conseil restreint de 5 membres. Dans son journal, Herzl écrit : « Si je devais résumer le Congrès de Bâle en un mot, ce serait celui-ci : à Bâle j’ai fondé l’État Juif (…). Peut-être dans cinq ans et certainement dans cinquante ans, chacun le saura. »] Source : Wikipédia.
Malheureusement, ce projet a pu voir le jour en 1948 après la maudite promesse de Balfour de 1917 (Arthur, qui fut ministre des affaires étrangères en 1916), à cause de l’appui inconditionnel des forces hégémoniques de l’époque, à savoir, la Grande Bretagne qui sera relayée par les Etats-Unis et bien sûr, avec l’alliance totale de tous les pays européens y compris l’Union soviétique de l’époque qui fut le premier pays à reconnaître le vol de la terre des Palestiniens.
L’entité sioniste s’est fondé, à l’instar des Etats-Unis d’Amérique : des Européens ont colonisé le continent qui fut nommé plus tard par Amérique, par l’extermination de la population indigène, à savoir, les Indiens rouges. Des mensonges et des complots à n’en finir et surtout des massacres ont accompagné la création de cet état. L’histoire regorge de récits de ces atrocités barbares perpétrées par ce qu’ils se prétendent être « Des démocraties ».
De surcroît, pour faire réussir leur fomentation, les sionistes, aidés par les grandes forces hégémoniques, ont contrôlé et contrôlent toujours les médias mondiaux à travers desquels ils organisent des campagnes pour tromper l’opinion internationale qui va adhérer à leur cause faute d’opinion opposée entendue. Il faut dire que tout était et est toujours bien programmé : on lance à longueur de temps de diffusion sur tous les médias des messages, des films, des débats, des documentaires faussement préparés et financés en largesse de façon à ce que toutes les populations croient en ce grand mensonge. Tout est fondé sur des mythes.
En présentant son livre « Israël, parlons-en », le journaliste belge Michel Collon raconte qu’il a interviewé des gens dans les rues de Bruxelles pour savoir ce qu’ils savent de l’État d’Israël. Eh bien il constate que personne ne sait la vérité, personne n’est au courant du grand mythe construit pour inculquer dans les esprits de tous et surtout ceux des peuples européens et américains que ce qu’on appelle Israël est le seul pays démocratique dans la région et qu’il faut protéger. (À suivre absolument : https://youtu.be/CrQvxCV2Wn0).
À son arrivé au pouvoir, le président Emmanuel Macron a instauré une loi qui incrimine tous ceux qui critiquent le sionisme ; or chacun sait que le sionisme est un mouvement politique fondé sur l’expropriation des terres et l’extermination du peuple palestinien et le remplacer par des colons juifs. Actuellement en France, dans la loi, critiquer le sionisme est taxé d’antisémitisme. Le comble de l’absurdité et de la négation des valeurs fondamentales sur lesquelles se base la constitution de la France, à savoir, Liberté, Egalité et Fraternité. On nous chante dans ce pays qu’ils sont démocratiques. C’est la démocratie entre voleurs pour continuer à voler.
Des exemples de l’absurdité et le non-sens foisonnent dans l’histoire de la France: comme exemple et cela s’applique à tous l’Occident :
Dans son livre « Les mythes fondateurs de l’État d’Israël », le penseur et philosophe Roger Garaudy décortique savamment les mensonges autour desquels l’entité sioniste s’est fondé. Son ami, l’abbé Pierre qui était la personnalité la plus aimée des Français a demandé qu’on voie de près les informations données par Garaudy, résultat : les médias, contrôlés par les sionistes, ont lancé une propagande mensongère l’accusant d’antisémitisme à tel point qu’il a dû fuir la France et se réfugier en Italie, tellement persécuté.
Tout récemment, deux exemples tout frais: le premier vient de la part du ministre de l’intérieur actuel Gérald Darmanin qui a interdit une manifestation propalestinienne à Paris contre le bombardement des civils à Gaza, des enfants, des vieillards et des femmes qui sont ensevelis sous les décombres de leurs maisons détruites par l’aviation de chasse sioniste.
Quel prétexte ? « Je vais interdire cette manifestation parce qu’on ne veut pas de manifestation de haine, une manifestation antisémite », a-t-il dit.
Le deuxième exemple est lorsque l’actuel maire de Nice Christian Estrosi a arboré la façade de sa mairie avec le drapeau israélien sous prétexte de soutenir une grande démocratie qu’est Israël selon lui. Quelle absurdité ? Si on veut défendre les faibles qui n’ont pas de moyens pour se défendre, et bien, c’est de l’antisémitisme ou c’est de la haine !
Que sont devenues les grandes valeurs de la France ? Pourquoi cette dégradation dans les esprits ? Ne cherchez pas beaucoup, c’est la propagande sioniste appuyée par tous les médias du monde presque et surtout les médias américains. Les USA, non seulement appuient médiatiquement l’entité israélienne mais lui procurent tout : armement de tous genres, appui financier et politique dans les instances internationales et auprès des autres pays.
Imaginez qu’un pays soumis à des sanctions quelconques, il peut s’en affranchir rien que par son rapprochement avec « Israël » : l’exemple du Soudan et plein d’autres pays dans le monde.
A croire sincèrement que certaines personnes dans n’importe quel pays du monde ne peuvent accéder dans leur propre pays à aucun poste important que ce soit politique, médiatique ou autre qu’avec l’aval des services secrets américain et le pouvoir du lobby médiatico-financier sioniste.
En conclusion : la première arme qu’il faut entretenir et répandre pour contrebalancer cette hégémonie, ce sont les médias. Il faut les combattre avec les mêmes armes sans oublier la constitution de lobbys de pression comme font les sionistes dans le monde entier. Toute personne libre dans le monde est invitée à s’investir dans des groupes pour défendre et expliquer la part encore inconnue de la cause palestinienne chez les Occidentaux.
L’espoir est toujours devant nous, il ne faut pas lâcher. Il faut que le combat continue jusqu’à la libération totale de la Palestine. Tout humain libre est concerné. Toute la Nation arabo-musulmane est concernée, avec en tête l’Iran et tous les pays de l’axe de la résistance.
Les courbes sont désormais bien définies : l’ennemi sioniste se trouve sur une pente descendante tandis que l’axe de la résistance est en pleine ascendance. La dernière bataille à Gaza présente les prémices de la victoire divine finale tant attendue. On priera prochainement dans la mosquée Al-Aqsa de la terre sainte, la Palestine. Cette victoire s’est réalisée grâce à la résistance des Palestiniens et à l’appui inconditionnel de grands hommes à l’instar du Sayed Hassan Nasrallah le secrétaire général de la résistance islamique au Liban, le Hezbollah, et du grand martyr Kassem Soleimani.
Par Mikaël Husson