Pour la première fois, l’Iran a organisé son premier marché hitgh-tech pour la production du pétrole et du gaz , a rapporté le site d’informations iranien Farsnews.
Le secrétaire et chef executif de ce marché iranien, Hassan Driss Zadeh, a affirmé que « ce marché réunit un grand nombre des plus importantes compagnies et sociétés iraniennes. Aussi, des réunions seront organisées par des comités spécialisés dans les domaines technologique, juridique et celui des affaires ».
Il a ajouté que « les entreprises qui participent dans ce marché comptent transférer leurs technologies modernes à tous ceux qui souhaitent s’investir dans le secteur de l’ energie , via des ateliers de formation ».
Il a souligné que « les ateliers de formation technique et de génie vont échanger leurs informations afin de régler les faiblesses et les problèmes de entreprises qui souhaitent investir dans le secteur de l’énergie ».
Pour sa part ,le ministre iranien du Pétrole, Bijan Namdar-Zanganeh, a déclaré que l’engagement des membres de l’OPEP à l’accord de réduction de la production du pétrole est satisfaisant, selon ISNA.
Il a ajouté que « la réaction des marchés mondiaux du pétrole brut à la décision des membres de l’OPEP était positive et ce processus se poursuivra « après sa rencontre avec son homologue vénézuélien à Téhéran.
Il a ensuite souligné que « les relations entre Téhéran et Caracas, dans les questions de l’OPEP, sont stratégiques voire l’Iran et le Venezuela ont des positions communes dans cette organisation depuis des années ».
Et de poursuivre : » l’engagement des membres de l’OPEP à l’accord de réduction de la production du pétrole est bon. De même, les pays qui ne sont pas membres de cette organisation ont commencé la réduction de leur production et ils ont promis d’atteindre le chiffe exigé ».
L’OPEP s’est engagée le 30 novembre à réduire sa production de 1,2 million de barils par jour (bpj) pour la ramener à 32,5 millions de bpj au premier semestre de cette année.
Des pays non-membres de l’organisation comme la Russie, Oman et le Mexique, se sont engagés à réduire leurs production de 558.000 bpj durant la même période.
Source: Médias