Le bureau des Relations médiatiques du Hezbollah a démenti les informations publiées par certains médias, dont l’Agence France-Presse et attribuées à des sources du Hezbollah, évoquant le sort de ses responsables.
« Les médias publient des informations qu’ils attribuent à des sources du Hezbollah concernant le sort des responsables du Hezbollah à la suite des raids brutaux dans les banlieues sud. Le dernier en date est l’Agence France-Presse, qui a attribué ses informations à des sources de haut rang au sein du Hezbollah. Nous tenons à réitérer que nous n’avons aucune source au sein du Hezbollah, et notre position est exprimée dans une déclaration officielle publiée par les Relations médiatiques du Hezbollah ».
Dans une dépêche l’AFP a attribué à un responsable du Hezbollah que le contact avec sayed Hachem Safieddine, le chef du bureau exécutif du parti de la résistance a été perdu depuis les violents raids israéliens contre la banlieue sud de Beyrouth le vendredi 4 octobre. L’agence a rapporté que cette présumée source lui a dit « Nous ne savons pas s’il était présent à l’endroit visé par les raids » et qu’il est « le candidat le plus susceptible » pour succéder au martyr sayed Hassan Nasrallah. Alors qu’Israël cherche par tous les moyens à savoir s’il a été tué dans ce raid.
Selon le bureau des Relations médiatiques, « certains médias, notamment un certain nombre de sites Internet, ont publié de fausses nouvelles et des rumeurs sans valeur concernant le statut organisationnel d’un certain nombre de hauts responsables du Hezbollah ». Le texte estime qu’ils « s’inscrivent dans le cadre d’une guerre psychologique et morale contre les gens de la résistance menée, par ceux qui ont consacré leur plume, leur langue et leurs prises de position au service de l’occupation sioniste. »
Source: Divers