Candidate de la France à la tête de cet organisme, Mme Azoulay l’a emporté vendredi face au candidat du Qatar, non sans avoir reçu le soutien de la déléguée de l’Egypte, dont les sympathies pour Israël sont désormais notoires.
Comme représentante de Macron, un président dont l’un des premiers gestes « diplomatiques » a été d’inviter le bourreau de la Palestine Netanyahu à commémorer l’anniversaire de la rafle du Vel d’Hiv l’été dernier à Paris, on peut bien sûr déjà savoir à quoi s’en tenir sur la nouvelle directrice.
Mais le site PANAMZA nous a apporté ce week-end de précieuses informations supplémentaires sur le personnage, en mettant au jour plusieurs des compromissions d’Audrey Azoulay, en sa qualité de professionnelle de la communication, avec le lobby israélien.
Outre le titre du présent article, nous retiendrons deux extraits de l’enquête sur Audrey Azoulay réalisée par le site d’investigation, auquel on doit un certain nombre de révélations choc ces dernières années (la fameuse vidéo où un Valls tout excité professe son lien « éternel » avec Israël, par exemple).
Ainsi, en 2015, l’Elysée se soumet à un diktat du CRIF, et ordonne à France Télévisions d’acheter une œuvre jusqu’alors retoquée par la chaîne pour sa médiocrité : en l’occurrence, le film « 24 jours » du propagandiste pro-israélien Alexandre Arcady, consacré à l’assassinat d’Ilan Halimi. Et qui s’occupe de ce dossier à la Présidence de la République ? Une certaine Audrey Azoulay, conseillère de François Hollande chargée de la culture et de la communication. Voir https://coreix.french.almanar.com.lb//www.panamza.com/040315-elysee-24-jours/
Un an après, Audrey Azoulay assiste, en compagnie de son père André (lui-même conseiller du roi du Maroc et grand admirateur de feu le dirigeant sioniste Shimon Peres) à la remise d’une récompense, par la synagogue parisienne de la rue Copernic, aux réalisateurs d’un documentaire « Les Français c’est les autres », dont l’objet est carrément de stigmatiser et culpabiliser la jeunesse musulmane des banlieues (ceux de nos lecteurs qui ont de la patience peuvent regarder le navet ; on leur recommande la scène où l’on apprend aux sauvageons à bien tenir une fourchette ! https://www.youtube.com/watch?v=12u9PMNEfDc&feature=youtu.be).
Panamza observe que cette charmante escapade n’avait pas été inscrite à l’agenda officiel de Mme Azoulay, qui était pourtant devenue entretemps ministre de la Culture.
Source : https://coreix.french.almanar.com.lb//www.panamza.com/131017-azoulay-israel-unesco/
CAPJPO-EuroPalestine