Le guide de la Révolution islamique, l’Ayatollah Khamenei, a assuré au ministre syrien des Awqaf, Mohammad Abdelsatar asSayed , au cours d’une rencontre à Téhéran, « du soutien de l’Iran à la Syrie dans sa lutte contre le terrorisme et contre les ennemis de l’Islam », soulignant que « le jour où nous ferons la prière du Vendredi dans la sainte ville d’al Qods est désormais proche », a rapporté la chaine satellitaire iranienne alAlam.
Et d’ajouter : »la Syrie se trouve aujourd’hui sur la première ligne de front. Et donc, notre devoir à tous est de soutenir la Syrie. M. Bachar al-Assad est l’une des personnalités des plus distinguées en terme de lutte et de résistance, il n’a jamais douté et n’a jamais hésité et cela est très important pour sa nation ».
Son éminence a indiqué que « si certains peuples musulmans vivent dans l’humiliation cela ne signifie qu’ils sont de cette nature, ce sont leurs dirigeants qui rendus leur vie misérable. Les ennemis ne peuvent rien faire contre une nation dont les dirigeants sont fiers de leurs origines et de leur religion ».
Il a noté que »la République islamique d’Iran est entrée dans sa quatrième décennie, il ne faut pas oublier que dès le premier jour de l’avènement de la Révolution, ses ennemis, notamment les USA, les Soviétiques et l’OTAN, ont tenté de la renverser mais n’ont pas réussi, car l’Iran a résisté et elle s’est renforcée . Autrement dit, la volonté des grandes puissances ne peut se réaliser obligatoirement ».
L’ayatollah Khamenei a noté que « la victoire appartient à l’être pieux et croyant . Notre devoir à tous est de défendre l’Islam. Par conséquent, nous devons mettre de côté les différends et ignorer ceux qui complotent contre notre solidarité ».
Et d’ajouter : »Nous, nous n’acceptons pas un chiite qui soutienne Londres ni un sunnite que défende les USA et Israël. Parce que l’Islam n’accepte pas l’injustice et l’exploitation ».
L’Ayatollah Khamenei a conclu : « Il y a quelques années, le régime sioniste a menacé en prétendnat que d’ici 25 ans, il réduirait l’Iran. Et moi, j’avais répondu que vous ne serez pas en mesure de comprendre l’Iran et ses évolutions d’ici 25 ans ».
Source: Médias