L’Arabie-saoudite et certains pays arabes jouent le rôle de médiateur entre la Libye et l’entité sioniste dans le cadre d’un effort de la part de TelAviv de réduire l’armement de Hamas dans la bande de Gaza assiégée, selon le site du magazine francais Intelligence Online, cité par l’agence d’informations iraniennes Farsnews.
Intelligence Online est une publication professionnelle sur la communauté du renseignement et les cabinets d’intelligence économique, en Europe, aux Etats-Unis, au Moyen-Orient et en Asie.
Selon le magazine, le général libyen Khalifa Haftar et le Premier ministre du gouvernement de réconciliation Fayez Sarraj ont ouvert des canaux de renseignement de communication avec Israël, par le bias d’hommes d’affaires juifs d’origine libyenne, mais aussi grâce au soutien de certains pays arabes, en particulier les Emirats Arabes Unis et l’Arabie Saoudite.
Intelligence Online souligne que « le régime saoudien offre un soutien important à Haftar dans ses négociations avec l’entité sioniste, rappelant que « Khalifa Haftar a accusé les Frères musulmans et les Brigades Qassam, l’aile militaire de Hamas de combattre contre son armée qui se bat contre les groupes islamistes armés, en particulier Daesh ».
Le magazine français note que « des chasseurs israéliens ont bombardé il y a trois ans, des objectifs de d Daesh dans la ville de Syrte à l’est de la Libye, à la demande de Haftar ». Des sources ont évoqué , à l’époque, alors que Tel Aviv a obtenu de Hafter, des promesses de contrats pétroliers et d’armement. Ces sources ont rapporté du compte Twitter du site Tanker Tracker, que « le pétrole libyen a tracé sa voie vers Israël », sachant que le site a obstruer le nom du navire-cargo et les dates de livraison, ajoutant qu’il se réserve le droit de dévoiler ou de ne pas dévoiler ce genre d’informations concernant des données ou des images sur le transport de ce pétrole vers Israël ».
Source: Farsnews