Au cours d’une réunion consacrée au dossier chimique syrien, plusieurs pays y compris la France n’ont pas donné la parole à l’ancien chef de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) José Bustani. Ils auraient eu peur d’une éventuelle révélation devant le Conseil de sécurité, a indiqué la Russie. L’intervention ...