Les propos tenus, samedi 28 septembre, par Marie Arena, présidente de la sous-commission des droits de l’Homme du Parlement européen, annonçant une audition avec «un certain nombre d’acteurs» du mouvement du 22 février en Algérie, ont été considérés par bon nombre de politiques algériens comme «une tentative flagrante d’ingérence», visant ...