Le département d’État américain a également qualifié d’illégales les menaces du président vénézuélien, Nicolas Maduro, successeur d’Hugo Chavez, qui a été réélu en mai dernier à l’issue d’une élection présidentielle que les grands partis de l’opposition avaient boycottée, dénonçant par avance des fraudes.
Pour Mike Pompeo, le gouvernement de Maduro est « illégal ». En visite à Abou Dhabi, aux Émirats arabes unis, il a déclaré que les États-Unis et ses alliés en Amérique latine travailleraient à la restauration de la démocratie au Venezuela.
Les pays du Groupe de Lima, à l’exception du Mexique, ont accentué la pression sur Nicolas Maduro, indiquant à l’issue d’une réunion vendredi qu’ils ne reconnaîtraient pas le deuxième mandat du président vénézuélien qui a débuté le 10 janvier.
Source: PressTV