L’assistant politique, sécuritaire et social de la province d’Ispahan a confirmé à l’agence Mehr, Mohammad Reza Jan Nathari, qu’aucun incident de sécurité ne s’est produit à Ispahan la nuit dernière.
Certains médias iraniens avaient pourtant rapporté dans la nuit de mardi à mercredi que le complexe du Commandant des fidèles du ministère iranien de la Défense à Ispahan a été attaqué la nuit dernière par un petit drone.
D’autres médias ont suggéré que les forces de sécurité iraniennes ont abattu un certain nombre de micro-véhicules aériens (MAV) qui visaient à endommager cette installation.
Jan Nathari a déclaré que ce qui avait circulé sur les réseaux sociaux au sujet d’une attaque de drone contre le complexe du ministère de la Défense à Ispahan était « incorrect ».
Il a souligné que les complexes militaires et de sécurité des forces de sécurité intérieure sont dans leur état normal et sont toujours prêts à faire face à toute menace.
Le 29 janvier, les systèmes de défense iraniens ont déjoué une attaque à l’aide de drones sur l’un de ses centres à Ispahan, dans le centre du pays. À ce moment-là, la défense aérienne a pu « abattre l’un des drones, tandis que deux autres appareils sont tombés dans des pièges défensifs et ont explosé ».
Le ministère de la Sécurité a souligné que l’attaque ratée n’avait fait aucune victime ne causant que des dommages mineurs au toit d’un atelier. Le complexe, a-t-il ajouté, a poursuivi ses occupations habituelles après l’attaque.
Il a annoncé plus tard qu’il avait arrêté les principaux éléments impliqués dans l’attaque.
L’agence de presse iranienne Nour News, affiliée au Conseil suprême de Sécurité nationale (SNSC), a indiqué que des terroristes anti-iraniens opérant dans la région semi-autonome du Kurdistan irakien étaient impliqués dans l’attaque de drone.
Source: Divers
