Dans un discours vigoureux, le président américain a affirmé que l’entité sioniste avait le droit de se défendre face au « mal à l’état pur »
« A cette heure, nous nous devons être absolument clairs. Nous nous tenons aux côtés d’Israël », a-t-il martelé en présence de la vice-présidente Kamala Harris et du chef de la diplomatie Antony Blinken, qui se rendra jeudi dans l’entité sioniste en signe de de soutien.
Joe Biden a également ajouté qu’il demanderait au Congrès d’agir rapidement en faveur de l’entité sioniste, disant : « Ce n’est pas une question de politique – c’est une question de sécurité des États-Unis et de la sécurité mondiale ».
Il a indiqué que les Etats-Unis, qui ont déjà décidé d’envoyer un groupe aéronaval aux abords de l’entité sioniste, étaient prêts à déployer « des ressources supplémentaires si nécessaire », pour éviter que la guerre ne s’étende.
Il a aussi promis des moyens pour le « Dôme de fer, le système de défense antimissiles d’Israël.
Il a également adressé un avertissement au Hezbollah concernant ses intentions de prendre part au soutien de la cause palestinienne.
« Tous les groupes de la région qui envisagent d’intervenir – ne le faites pas », a-t-il déclaré.
Rappelons que le Hamas a lancé une offensive surprise et massive, le samedi 7 octobre, contre les colonies de l’enveloppe de Gaza, en riposte aux agressions israéliennes continues contre le peuple palestinien en Cisjordanie occupée et à la profanation de la mosquée Al-Aqsa.
L’opération Déluge d’Al-Aqsa a entrainé la mort de plus de 1000 colons et soldats israéliens et la capture d’une centaine d’autres.
Par contre, les autorités d’occupation se sont vengées des civils, en bombardant les domiciles résidentiels, les centres médicaux et les mosquées à Gaza. Selon le ministère palestinien de la Santé, 950 palestiniens sont tombés en martyre dont 260 enfants et 230 femmes, et près de 5000 autres blessés.