Trente imams de France ont rejeté mardi la thèse « funeste » selon laquelle le Coran appellerait au meurtre, évoquée dans un récent manifeste contre l’antisémitisme, tout en s’engageant à combattre la radicalisation d’une jeunesse ignorante et tentée de commettre des crimes « au nom de l’islam ». « Nous appelons (…) le reste de ...