Le président iranien Ebrahim Raïssi a déclaré, le lundi 23 mai, que le meurtre d’un officier des Gardiens de la révolution, l’armée idéologique de l’Iran, serait « vengé », au lendemain du martyre du militaire à Téhéran. « Je ne doute pas que le sang de ce grand martyr sera vengé », a dit ...