C’est du moins la raison affichée par l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) pour justifier son refus d’envoyer ses experts afin d’analyser les échantillons d’armes chimiques utilisées par les terroristes à Alep. Aussi bien Damas que Moscou avait demandé à l’OIAC d’envoyer ses experts à Alep, en Syrie. Mais ...